les vieux sur les sites.

Misérables, c'est le mot juste pour décrire ces scènes grotesques où de vieilles femmes au pubis affaissé et grassouillet, écartent leurs cuisses pour découvrir à l'objectif une vulve béante et flasque.
Avec leur visage triste et leur rictus réprobateur on devine la capitulation devant des assaults répétés d'un maris submergés par ses hormones finissantes.
La bonne femme qui a renoncé depuis longtemps à tout ce qui touche à son périné, concède sans grande joie ces exercises affligeants à son compagnon encore pétrit de désirs : les pétarades d'une fin de mâle...
Concessions pour un sursi de tranquillité ? Appitoiement face à un survolté capricieux ? Qui sait ?
C'est sans aucun doute encore de l'amour... mais à quel prix ?
Ce n'est pas le pire... imaginons celles qui se font enfiler par quelques vieillards essouflés et flétrits, devant des maris érectés qui guettent un sourire de satisfaction sur le visage du burineur mou : alors, ma vieille... elle est encore bonne ?!
La séance terminé, il va se la besogner, pour lui tout seul et la vieille, déjà assèchée et irritée par les ardeurs des lubriques de l'après-midi, va encore endurer des doigts sales, un gode trop gros et peut-être même une sodo ravageuse pour son cul malade de quatre accouchements.
Ce n'est pas la nouille molle qui achèvera la grosse, mais les halètements malodorants et la sueur gluante du gros poilu.
HOoo ouiii...dis -moi que tu es une grosse salope ! Ca, c'est son trip à Gégé...
Il giclera trois glaires entre les cuisses rougies de la vieille, s'écroulera, le nez entre ses gros nichons et ronflera comme un bienheureux.
Il s'appelle Gérard ! si si .

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