LES VORACES

n plus souvent avoir oublié leur mission : servir l’État et le peuple.

Insatiables, ils veulent toujours plus de primes, d’indemnités, d’honoraires, de jetons de présence… Au risque de négliger l’intérêt général, au profit du leur.

Bien sûr, l’establishment politico-administratif n’a pas cédé dans son ensemble à cette frénésie. Un grand nombre de responsables ne font pas passer leurs intérêts avant ceux de la nation.

Mais cette réalité obsédante – nos élites sont devenues voraces – l’emporte chaque jour davantage.

Des ministres d’Édouard Philippe qui ont accumulé des fortunes dans leurs allers-retours entre le public et le privé et qui ont bénéficié personnellement de la suppression de l’impôt de solidarité sur la fortun

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