Un vrai feuilleton. Ni l'une ni l'autre ne sont claires et le père non plus. Olivier s'est dit choqué alors qu'il dit ne pas avoir écouté et ne pas savoir ce qui s'est dit, Dolores, elle, n'a pas vraiment relevé, il y avait sûrement du vrai. C'est du grand n'importe quoi de la part de la Libre Antenne d'orchestrer ce genre de choses.
Mais ça prouvait qu'elle n'allait pas bien non plus. Qu'elle ne se maîtrisait plus.... l'Hôpital qui se moquer de la charité. Elle a ensuite bossé pour Daphné R sur France 2 à 15 h. Elle n'était plus qu'une petite et vieille chroniqueuse, la grande dame arrogante.
Bonjour Monsieur Drouelle,
à l'instant j'ai dû éteindre ma radio alors que j'écoutais votre intéressante émission sur les attentats de Bombay : la musique de fond n'en est pas une, c'est carrément du BROUILLAGE, tuant pour les nerfs, superflu, ne faisant que rendre votre discours beaucoup moins audible... Pourquoi gâchez-vous vos émissions ainsi ?
Recevez mes meilleures salutations
Claude Darmstädter
C'était elle, Caroline Weil qui avait dit à la régie, se croyant hors antenne : "Mais vous m'envoyez que des dingues ce soir". Son rétropeédalage avait été épique !
Voila le résultat de vouloir entendre les deux sons de cloches. L'histoire de Muriel et Dolores en Israël qui viennent déballer leur vie à la radio. Je ne comprends pas Olivier qui s'en mêle et prend partie. On ne connait rien de leurs vies c'est n'importe quoi de sa part de juger l'une ou l'autre. C'est tout à fait possible que ce que Muriel disait soit vrai, ce n'est pas son rôle à lui de juger. Quel déballage!
Cette jeune fille sans problème qui s'allonge sur les rails après avoir encaissé des chèques en bois, c'est extreme et disproportionné. Elle devait être bien fragile, elle a peut-être eu peur de la réaction de sa famille, elle n'en a pas parlé à sa mère elle est allée voir son agence bancaire. Je comprends la colère de sa sœur, elle a besoin d'un coupable, pourquoi pas la banque mais cette histoire comme tous les suicides de jeunes ne se résume pas à un problème bancaire. La famille n'a rien vu et elle s'en veut.
J'écoute à l'instant votre sujet sur le tourisme à Marseille.
Quand j'entends comme argument la peur d'un confinement, on en parle de leur carnaval ? Et de ses incidences ?
Je vous invite à consulter les chiffres de l'APHM...
oui c'est le frère du professeur Tournesol !!
Bien trouvé :p
Un vrai feuilleton. Ni l'une ni l'autre ne sont claires et le père non plus. Olivier s'est dit choqué alors qu'il dit ne pas avoir écouté et ne pas savoir ce qui s'est dit, Dolores, elle, n'a pas vraiment relevé, il y avait sûrement du vrai. C'est du grand n'importe quoi de la part de la Libre Antenne d'orchestrer ce genre de choses.
Mais ça prouvait qu'elle n'allait pas bien non plus. Qu'elle ne se maîtrisait plus.... l'Hôpital qui se moquer de la charité. Elle a ensuite bossé pour Daphné R sur France 2 à 15 h. Elle n'était plus qu'une petite et vieille chroniqueuse, la grande dame arrogante.
Elle a voulu se dépayser par rapport à son ghetto Neuilly-Auteuil-Passy et elle vite jeté l’éponge. Bien trop dur de se coltiner tous ces gueux ! LOL
Bonjour Monsieur Drouelle,
à l'instant j'ai dû éteindre ma radio alors que j'écoutais votre intéressante émission sur les attentats de Bombay : la musique de fond n'en est pas une, c'est carrément du BROUILLAGE, tuant pour les nerfs, superflu, ne faisant que rendre votre discours beaucoup moins audible... Pourquoi gâchez-vous vos émissions ainsi ?
Recevez mes meilleures salutations
Claude Darmstädter
C'était elle, Caroline Weil qui avait dit à la régie, se croyant hors antenne : "Mais vous m'envoyez que des dingues ce soir". Son rétropeédalage avait été épique !
Voila le résultat de vouloir entendre les deux sons de cloches. L'histoire de Muriel et Dolores en Israël qui viennent déballer leur vie à la radio. Je ne comprends pas Olivier qui s'en mêle et prend partie. On ne connait rien de leurs vies c'est n'importe quoi de sa part de juger l'une ou l'autre. C'est tout à fait possible que ce que Muriel disait soit vrai, ce n'est pas son rôle à lui de juger. Quel déballage!
Cette jeune fille sans problème qui s'allonge sur les rails après avoir encaissé des chèques en bois, c'est extreme et disproportionné. Elle devait être bien fragile, elle a peut-être eu peur de la réaction de sa famille, elle n'en a pas parlé à sa mère elle est allée voir son agence bancaire. Je comprends la colère de sa sœur, elle a besoin d'un coupable, pourquoi pas la banque mais cette histoire comme tous les suicides de jeunes ne se résume pas à un problème bancaire. La famille n'a rien vu et elle s'en veut.
J'écoute à l'instant votre sujet sur le tourisme à Marseille.
Quand j'entends comme argument la peur d'un confinement, on en parle de leur carnaval ? Et de ses incidences ?
Je vous invite à consulter les chiffres de l'APHM...