Etudiantes pas à vendre !

Déjà, dans les années 80, le "MINITEL ROSE" a permis à certains de s'enrichir et d'avoir la possibilité, après la disparition de ce dernier, de se recycler bien avantagement dans le net.
Internet deveient de plus en plus le vecteur de parasites.
Parasites qui n'investissent que dans un site et quelques opérateurs, jouent le rôle de commerciaux-patrons tout en faisant supporter aux autres l'investissement dans les moyens utiles à l'exercice de la fonction.
UBER est l'un des plus visibles actuellement et l'on entend répéter bêtement qu'il est "l'un des premiers à avoir créé des emplois dans les banlieues"; alors que les chauffeurs en question, ACHETENT LA VOITURE, assurent les service, se voient imposer un tarif duquel est ponctionné un pourcentage au profit d'uber.
PARASITE ça rapporte, et voilà donc que l'on s'attaque aux étudiantes, allant jusqu'à imposer un véhicule publicitaire devant l'université.
C'est inconcevable et condamnable d'autant que ces sites,en tirant un profit de l'action, jouent un rôle d'intermédiaires pouvant s'apparenter au proxénitisme ...

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