Et pour ça, cela nécessite des billes

Monsieur Perri, vous dites :
« La vente libre de cannabis dans les bureaux de tabac, au moins pour désarmer les trafiquants »
Mais pourquoi donc ne pas rajouter : « et l'attribution de la légion d'honneur aux trafiquants qui ,pendant des années baffouent les lois de la République »
Et s'il y a libéralisation, d'où viendra le cannabis ?
Et s'il y a libéralisation, les trafiquants deviendront tout simplement des importateurs en toute légalité.

Dans un article du Parisien libéré du 31 janvier 2017 sur le trafic « au vu et au su de tous » dans une ville l'extrait suivant d'un policier résume le problème :
« ... Mais dès que tu interpelles un dealeur, il est remplacé une demi-heure après ». Pour faire fermer temporairement un point de deal, il faut arrêter tous les membres du réseau.
Et pour ça, cela nécessite des billes.
En général, cela représente des mois de travail, à base de surveillances physiques et téléphoniques. C’est ce qui s’est passé il y a quelques semaines avec le démantèlement du point de deal du Bois-Matar à Villeneuve-Saint-Georges. « Mais la nature a horreur du vide décrypte un policier. Les places sont chères et quand une équipe tombe, d’autres trafiquants sont là ».

A bien noter : « ET POUR CA ,CELA NECESSITE DES BILLES » …

La solution est donc dans : donner les moyens et toute liberté à la gendarmerie et à la police pour agir, donner les moyens à la justice et la pénitentière.

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