Mireille face au silence de sa petite fille

Le gros problème, ce sont les finances, la vache à lait est en prison. Une grand-mère qui est encore à s'occuper de ce qui ne la regarde pas. Elle devrait penser à faire partie d'associations de loisirs ou humanitaires, visiter des musées, aller au théâtre, inviter ses voisins à venir boire l'apéro ou organiser un petit goûter.
Etrange que la "jeune" maîtresse de ce vieil homme n'ait pas rompu après ce qui s'est passé, la tentative de meurtre, elle n'a pas peur d'être la prochaine victime quand il sortira de prison... Elle est vraiment dans le déni.
On voit qu'elle veut s'éloigner géographiquement mais elle n'a pas de boulot. Ses filles sont aussi accros au beau-père tueur, elles pardonnent l'impardonnable et ont de la peine pour lui et non pas pour la victime. Elles n'ont pas pris conscience que ce vieux monsieur est dangereux et la prison ne va rien arranger. Peut-être qu'elle sont vénales et que les valeurs du bien et du mal sont inversées chez elles.

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