Ginette et la curatelle

Une demande de curatelle ne se fait pas si on ne veut pas se retrouver totalement dépouillé de ses biens et de sa liberté. Même demander une simple sauvegarde de justice (la mesure la moins contraignante), c'est pouvoir se retrouver mis sous curatelle ou tutelle. A partir du moment où c'est demandé par la personne elle-même, le juge et le médecin vont se dire que la personne est folle déjà pour demander une telle mesure, demander à perdre sa liberté, son patrimoine, qu'elle n'a plus toutes ses facultés mentales, donc vulnérables pour les "bien-pensants" ou "la proie idéale" pour le système. Macron a facilité tous ces protections pendant son 2e mandat. Si elle fait un AVC et qu'elle n'a plus toute sa tête, qu'elle ne s'inquiète pas, ils feront le nécessaire en temps voulu. En si prenant à l'avance, si elle est sous tutelle, elle ne pourra plus décider de se faire opérer ou pas, c'est le tuteur qui disposera de sa vie et de son corps et elle sera probablement placé en EHPAD.
L'Etat cherche a enrichir des hommes de droit le plus souvent avec ces nuisibles et à s'emparer de l'épargne des aînés, parfois dès 45 ans, pour pouvoir loger les migrants, les délinquants et leur redistribuer cet argent, car les vrais malades mentaux en liberté et les envahisseurs reviennent très cher à l'Etat pour avoir un semblant de paix social, pour les gâter.. Evidemment si tout n'a pas été dépensé par les curateurs et tuteurs. Ceux qui font les demandes sous tutelle (assistante sociale, agent bancaire, personnel soignant à domicile ou à l'hôpital, agent admiratifs, policiers, notaire sont très souvent remerciés par des pots de vin. Certains n'ont même pas besoin d'avoir un pot de vin , ils font ça par malveillance souvent gratuite, pour détruire la personne à défaut de pouvoir la faire se suicider ou de pouvoir la tuer par balle.

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