TOLERANCE/INTOLERANCE

TOLERANCE/INTOLERANCE

Ce n'est pas parce que nous tenons à nos valeurs d'éthique judeo chretienne que nous n'acceptons pas les différences à condition que ceux qui pensent différemment aient aussi la même tolérance vis à vis de nous.
Mais les plus intolérants sont les médias, la presse qui font systématiquement pencher la balance du côté gauche, soit disant plus social! Quant on voit se qui se passe :
... le rondouillard de l’Intérieur, qui chasse les Français d’une plage pour l’offrir, toute bassesse bue, au roi du pétrole arabe.

... ce Premier ministre qui pioche dans nos impôts pour aller à Berlin, avec ses enfants et en avion officiel, voir un match de football.

... ce minable conseiller qui se fait cirer les chaussures à l’Élysée.
... ces ministres qui croient en leur impunité absolue malgré leurs comptes en Suisse, leur défaut de paiement auprès du fisc
ou leurs mensonges sur leurs diplômes.

... la Bricq, qui se plaint de la « bouffe dégueulasse » de l’Élysée alors que des millions de Français n’ont pas de quoi s’acheter un steak haché par semaine.
... la Saal, qui ose présenter une note de taxi équivalant à deux ans et demi de SMIC, alors qu’elle dispose d’une voiture avec chauffeur.

-Je remercie tous mes amis qui osent encore me fréquenter malgré tous mes défaut

> -Je suis né blanc,
ce qui fait de moi un raciste.

> -Je suis hétéro,
ce qui fait de moi un homophobe.

> -Je suis de confession chrétienne,
ce qui fait de moi un chien d'infidèle.

> -J'ai plus de 60 ans et je suis retraité,
ce qui fait de moi un vieux con.

> -Je réfléchis, sans avaler tout ce que la presse me dicte,
ce qui fait de moi un réactionnaire.

> -Je tiens à mon identité et à ma culture,
ce qui fait de moi un xénophobe.

> -J’aimerais vivre en sécurité et voir les délinquants en prison,
ce qui fait de moi un gestapiste.

> -Je pense que chacun doit être récompensé en fonction de son mérite,
ce qui fait de moi un antisocial.

> -J’ai été éduqué sévèrement et j’en suis reconnaissant à mes parents,
ce qui fait de moi un bourreau d’enfants opposé à leur épanouissement.

A l'origine de ce constat nous étions au moins trois :
celui qui m'a envoyé le message, toi, si tu es bien tel que je te connais,et moi.

> Mais la vitesse à laquelle "tourne " ce message me rassure :
je ne suis pas encore une espèce en voie de disparition !