Retour sur Julie

Une fois n’est pas coutume, je reconnais que Delacroix a eu la bonne attitude en disant tout le mal qu’il pensait des psys auxquels a eu affaire Julie. On ne le dit pas assez mais les récits de personnes maltraitées par des pseudos thérapeutes sont hélas plus nombreux qu’on ne le pense.
Dans le cas présent Julie a eu raison de se rebeller contre des interprétations sauvages dont elle a fait les frais. Qu’elle se soit sentie trahie c’est un fait et ça se comprend parfaitement. Néanmoins elle qui est prompte à ressentir de la culpabilité au quart de tour ne doit pas s’imaginer qu’elle serait responsable de ces comportements inqualifiables. Elle a tout simplement eu affaire à des incapables qui au lieu de reconnaître leur impuissance à lui venir en aide ont préféré provoquer la rupture par des propos insultants. C’est elle qui, est dans le vrai. Elle ne doit pas s’arrêter à ces expériences malheureuses. Il existe des psys honnêtes, respectueux et compétents elle en trouvera forcément un qui saura la comprendre. Toutes les grandes associations de psys proposent à des personnes désargentées des accompagnements adaptés à leurs moyens financiers. Quelle n’hésite pas à contacter leurs secrétariats et à tenter sa chance de ce côté-là. Elle possède les atouts pour s’en sortir. Courage à elle.

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