Yann Moix

Yann Moix

Je suis tout-à-fait d'accord avec vos commentaires, et en connaissance de cause, je pense exactement la même chose. Vos analyses sont vraiment juste . Mais, on ne peut juger et constater que des faits, des évidences. Ces personnes qui ont le cerveau en ébullition, et ne peuvent pas l'arrêter, sont tres malheureuses, jamais reposées, ni calmes, ni sereines, tout comme, comme elles se construisaient, on les sur excitait de sevices, de tortures, de douleurs permanentes, de cris, d'effroi, et les substences venimeuses du cerveau les innondaient et les empoisonnaient jkurs et nuits, sans jamais qucun répit, sans sommeil réparateur, paquets de nerfs a vif, souffres- douleurs. Et croyez bien que je n'exagère rien, étant même tres loin de toute l'horreur de la réalité. Ensuite, ces êtres ont beau faire tous les efforts, toutes les thérapies possible, une machine en marche dans leurs cerveaux, ne peut plus s'arrêter . C'est la fusion, ils bondissent du coq à l'âne, sont toujours d'une impatience maladive. A peine vous parlez, ue déjà quelque chose ne va pas rt les ennerve, et ils crient " attendez, attendez ! " vous devez dire comme ceci ou comme cela, ou comme Yann abregent leur récit en balançant de la musique magnifique et variée, mais plutôt hard, metal, punk rock s'ils sont agités. Les caprices vont avec leur humeur, et ils ne maitrisent pas