encore l'ASE !!!

encore l'ASE !!!

On peut comprendre Olivier qui entend encore et tjours la même histoire, et ça le met hors de Lui, parce-que ça le touche beaucoup et le révolte pour ses petites victimes placées. Si on a du coeur, on ne peut qu'être horrifié et peiné par de tel récits. Cependant, ce sont toujours et toujours les mêmes facons de raconter ces histoires par des parents prenant modèle les ins sur les autres pour se justifier, et sachant très bien à qui ils s'adressent, car une Caroline Dublanche par ex, ou d'autres ne se laisseraient pas avoir, et saurait rétablir la vérité. Jamais on n'entendra un parent avouer : " Je ne m'occupais pas des enfants, ou bien, j'etais énervé et je les maltraitais, j'etais un mauvais père, ou une mauvaise mère " Bien entendu, que ce n est pas ecrit sur leur front, tout comme un voleur, un violent, un dangereux, affirmera toujours qu'on l'a condamné à tort, qu il etait doux et parfait, mais qu'il y a eu des fqux témoignages, des enquêtes bâclée, des juges de mauvaise foi, des avocats qui ne font rien etc etc,. Et remarquez bien, que vers la fin du récit de ces parents modeles, qui adoent leurs enfants, leur procure un tendre amiur, une belle éducation qui les épanouissent, le parent en question a dû qvoir des soins psychiatriques, ou a dû être placer d'urgence en psychiatrie à la demande d'un thiers, ou sur ordre de la justice, bien souvent aussi, a dû être mis d'abord en chambre d'isolation, alors qu'il etait calme, logique, sensé, pas agité du tout !!! . Si on a placé l'enfant, c'est uniquement pour avoir dit une phrase, ou un mot, ou juste une question a l'assistante sociale, . Du coup, on lui enleve le droit parental, les visites a l'enfant sont accompagnées et surveillées, alors que ce parent est doux comme un agneau. Bien entendu, l'enfant est détruit, frappé, violé, par la fqmille d'accueil etc etc. Et Olivier au grand coeur, certes, n'a pas compris que, ce n'est pas toujours la même histoire d'enfants kidnappé injustement et sans motifs, par l'ASE, mais toujours et toujours la même façon de raconter l'histoire, sachant qu'il n'y aura qu'un seul son de cloche ! et que ça prendra à tous les coups. Mais qu'Olivier se méfie quand même. Traiter de degueulasses, presque d'assassins, les témoignants, ceux qui signalent la maltraitance, les assistantes sociales, la police, les avocats, les juges, les éducateurs, les psychiatres, les familles d'accueil etc etc, comme si, tous faisaient partie d'un gigantesque complot, risque un jour ou l'autre de lui procurer des ennuis, qui remettraient les choses à leur place.