• Par J Claude (lyon) dans le podcast Un jour dans le monde

    Vous pouvez rassurer ce directeur d'institut de sondage qui semble avoir peur que nous ne comprenions pas, même technique c'est le coeur du problème et nous pouvons comprendre!
    merc!
    jc raoux

  • Par Anonyme dans le podcast Les Grandes Gueules

    Les financiers qui manipulent les sondages votent
    MACRON
    A environ deux semaines du premier tour, on assiste à une campagne médiatique bien
    orchestrée, qui vise à tenter de manipuler l’opinion par un usage de sondages qui reflètent des
    pourcentages désirés par les bailleurs de fonds et non pas ceux qui devraient être affichés. C’est
    bien de trucages dont il s’agit.
    Pour que ces traficoteurs ne roulent pas les Français dans la farine, il est utile de faire savoir ce
    qu’il y a derrière ces sondages qui donnent allègrement depuis des jours un duel Macron/Le Pen
    pour le second tour.
    Ainsi, le sondage (BVA) au 3 avril donne 25% pour EM, 24% pour MLP et 19% pour FF
    Pour savoir décoder les « informations » dont on vous rebat les oreilles, je vous suggère, aidé
    par un autre internaute, de toujours vous poser la question : qui est le payeur ?
    Christian ROGER
    Qui paie les sondages ?
    Le point de départ d’une tentative de manipulation de l’opinion remonte à Janvier 2016. Le
    Monde titrait : « Sondage : Emmanuel Macron préféré à Manuel Valls ou François Hollande
    pour 2017 » et en sous-titre : « Un sondage Odoxa pour Le Parisien/Aujourd’hui en France
    estime que le ministre de l’économie pourrait devancer le premier ministre et même le
    président».
    Il est placé d’entrée de jeu à 22% et le produit Macron est ainsi lancé, comme une savonnette
    dont on veut faire la campagne publicitaire.
    Qui est Odoxa ?
    Les deux fondateurs d’Odoxa sont des anciens de l’institut de sondage BVA, dont Vincent
    Bolloré et le fonds d’investissement Rothschild sont actionnaires.
    Le principal actionnaire actuel d’Odoxa est Bernard Arnault, patron de LVMH et propriétaire
    de Le Parisien-Aujourd’hui en France.
    Nicolas Bazire est l’un des administrateurs de LVMH et il cumule en étant administrateur de
    l’institut de sondage IPSOS. Mais le plus intéressant ici, c’est qu’il est gérant associé de la
    Banque Rothschild…tout comme Macron avec qui il a travaillé, et dont le conseiller en
    communication est Denis Delmas, ancien président de TNS Sofres.
    Premier constat : les organismes de sondage Odoxa + BVA + IPSOS + TNS Sofres (sont
    dans les mains des financiers : Fonds d’investissements Rothschild + Bolloré + Arnault de
    LVMH. Ainsi, 80% des instituts de sondage appartiennent à la sphère d’influence qui
    soutient Macron.
    Chez LVMH, l’une des directrices est Gabrielle Guallar, «Madame» Benoit Hamon (ils sont
    pacsés). Cette collusion entre la gauche dure et des milliardaires n’a rien de surprenant,
    ces derniers ne sont «ni de gauche, ni de droite», comme Macron, leur poulain qu’ils dopent à
    coups de millions d’euros pour qu’il puisse gagner la présidence qu’il mènera selon leurs
    instructions.
    On comprend ainsi pourquoi Macron refuse de donner le nom des donateurs à son mouvement
    En Marche !
    Ces milliardaires sont sociaux-libéraux mondialistes, le mot « sociaux » n’étant là que pour
    rassurer la gauche, tout comme Hitler avait accolé « socialisme » à national dans nationalsocialisme.
    La cote moyenne de Macron était de 17% dans les sondages tout au long de l’année 2016.
    On l’a fait bondir de 7 points en janvier 2017, à 24 % pour arriver à 26 % des intentions de vote
    en mars, le plaçant en tête de tous les sondages.
    On sait que les élections se jouent dans les trois mois qui les précédent et on comprend très bien
    la nécessité de ces scores pour orienter l’opinion.
    Pour que Macron gagne, il faut qu’il affronte Marine Le Pen, un Macron contre Fillon donne
    Fillon gagnant. Les sponsors et propriétaires de Macron doivent maintenir MLP à un haut niveau
    dans les sondages, tout en préparant les conditions de son échec entre le premier et le second
    tour.
    Marine Le Pen, challenger indispensable à la réussite de cette manipulation de l’opinion
    publique est créditée de 25 % des intentions de vote. Normal !
    Dans le même temps, Elabe, un «petit» sondeur, donne Fillon à 17 % et insiste lourdement sur
    l’affirmation que «en dessous de 20 % un candidat n’a que peu de chance d’arriver au second
    tour ». Ben tiens !
    Qui est Elabe ?
    Elabe est l’institut de sondage qui a opportunément sorti un sondage qui montrait Macron
    gagnant du débat TV du 20 mars où il avait été falot face à Fillon, Mélenchon ou Le Pen. Elabe
    a été créé en avril 2015 par CSA dont il est une filiale.
    CSA, dont Vincent Bolloré est l’unique actionnaire depuis 2008 !
    Elabe et CSA, comme BVA, c’est donc Vincent Bolloré, président de Vivendi et Canal +,
    soit 8 milliards d’euros.
    CSA s’est fait connaître par Roland Cayrol, pendant longtemps omniprésent à C dans l’Air,
    comme Christophe Barbier de L’Express. Roland Cayrol s’est discrédité avec sa
    hollandophilie affichée. Aujourd’hui, c’est donc Bernard Sananès, ancien de CSA, qui vient à
    C dans l’Air commenter l’actualité au nom d’Elabe, qu’il dirige, donc de CSA et Bolloré,
    soutiens de Macron.
    Deuxième constat : Elabe et CSA sont des filiales à 100 % du groupe du milliardaire
    Vincent Bolloré, qui continue à soutenir Elabe. C’est son investissement pour continuer à
    contrôler la politique française avec Macron à la présidence.
    La presse doit absolument relayer les sondages pour peser sur l’opinion
    Nos milliardaires et banquiers savent que l’efficacité des sondages à exprimer « l’opinion
    publique » qu’on souhaite voir fleurir sur les médias implique l’adhésion de journalistes et
    spécialistes en communication.
    Ainsi, s’est mise en place chez eux la croyance selon laquelle « faire de la politique » c’est,
    notamment grâce à une bonne communication, se situer le plus haut possible dans les côtes de
    popularités données par les sondages ».
    Il faut afficher un bon mouvement d’opinion autour de Macron et la presse financée par le
    gouvernement et les milliardaires de gauche vont s’en charger !
    Dès janvier 2016, après le coup de démarreur donné par le sondage commandé par Bernard
    Arnault à Odoxa et le coup de starter de Le Monde encensant Macron, 90 % de la presse est mise
    en action pour le soutenir.
    90 %, c’est le pourcentage de médias détenus par le gang des milliardaires sociauxlibéraux
    mondialistes français.
    Le service public, notamment la télévision, est lui aux mains de l’État socialiste qui a mis à
    sa tête Delphine Ernotte, une socialiste fidèle de Hollande, avec la même mission : détruire
    Fillon pour permettre le duel Le Pen contre Macron qui permettra à Macron, chevalier du Bien
    socialo-mondialiste et immigrationniste de battre le Mal incarné par Le Pen, patriote nationaliste
    anti-immigrationniste.
    Pour la mise en place des hommes pour ces actions, voici un extrait de lémission de TV
    Arrêt sur image » de Daniel Schneidermann :
    «S’agissant de Macron, Niel et Bergé, copropriétaires du groupe le Monde, lui ont plus ou moins
    publiquement déclaré leur flamme. Rien, dans ce que l’on sait de lui, et du peu que l’on sait de
    son programme, n’est de nature à effaroucher M.M. Dassault, Arnault, Pinault, Lagardère,
    Bolloré ou Drahi.
    Ce qui ne signifie pas que les oligarques français soient pendus au téléphone chaque matin pour
    commanditer des unes, des éditos, ou des sondages favorables. Simplement, par capillarité
    intellectuelle, ils ont nommé à la tête des rédactions de «leurs» médias des journalistes
    macrono-compatibles, éventuellement macrono-indifférents, en tout cas jamais macronoopposés,
    encore moins macrono-hostiles»
    Ce qui explique les plus de 50 « Unes» de la presse qui vantent le produit Macron depuis
    un an et les multiples sondages truqués qui le valorisent.
    Les « intellectuels » qui portent le produit Macron ?
    Ce sont les « Gracques » : un groupe d’hommes d’affaires, de hauts fonctionnaires et
    d’intellectuels qui s’active depuis 2007 dans les coulisses du pouvoir pour convertir la gauche
    française au libéralisme.
    Pour la plupart, ils occupent des postes hauts placés, souvent dans des banques, des compagnies
    d’assurances, des fonds d’investissement. Tous ont fait au moins l’ENA ou HEC. Anciens du PS
    pour beaucoup d’entre eux, ils ont peuplé les cabinets ministériels des années 1980 et 1990,
    servant les socialistes « modernes », Rocard surtout mais aussi Jospin, Fabius, Bérégovoy ou
    Strauss-Kahn.
    La plupart, mêlant intelligemment politique et affaires, sont très riches. Après l’éclipse Sarkozy
    dont ils ont profité pour se concentrer sur les affaires, ils ont été revivifiés par Hollande mais,
    surtout, par Jean-Pierre Jouyet son secrétaire de l’Élysée.
    Aujourd’hui, ils soutiennent le télévangéliste Macron à qui ils ont fourni clés en mains le volet
    économique de son programme, exactement comme le club élitiste allemand « La Société de
    Thulé » avait fourni au jeune Hitler, inculte et incompétent, son programme socio-économique
    (cf. La jeunesse d’Adolf, genèse du nazisme, Maurice D. 2002)
    *****************************
    Voilà. Je sais que tout cela n’est pas très reluisant. Mais vous avez un moyen de claquer
    le museau de ceux qui veulent vous abuser: VOTRE BULLETIN DE VOTE !
    C’est tout pour aujourd’hui !

  • Par JEPACI dans le podcast Faites entrer l'accusé

    19.04......QUELLE politique faire ? quelle politique vont-ils choisir ?
    Nous choisirons les candidats, mais c'est eux qui vont décider...
    Actuellement, nous naviguons entre un système POLITIQUE essentiellement capitaliste et des urgences d'ordre SOCIO-ECONOMIQUE auxquelles nous ne pouvons pas ne pas répondre.....
    c'est à dire qu'il va falloir choisir entre des actionnaires qui attendent des retours sur investissements et des malheureux qui n'ont rien à offrir mais qui attendent tout des états qui les recueillent.....
    le bons sens serait de ménager la chèvre et le chou, cependant les circonstances sont telles qu'on ne peut plus tergiverser...
    Alors, je crois que la question se pose autrement.....faut-il inventer une nouvelle forme de démocratie ? laquelle ? j'en suis persuadé, mais
    aucun candidat n'a réellement abordé ce sujet....il ne serait pas raisonnable de revenir en arrière en acceptant un régime "communiste idéal" ni un gouvernement qui fermerait les yeux sur les exactions entraînées par le capitalisme....et pourtant c'est le mode de gouvernement actuellement pratiqué.......
    alors ? .....donc, il faut bien admettre qu'il est temps de changer...
    .trop de démocratie tue la démocratie ! ...
    mais, c'est quoi maintenant un vote utile ? convaincu ? un vote qui fait fi de tout ce qui existe ? tout détruire pour reconstruire du nouveau ? faute de propositions dans ce sens , je pense que c'est la solution vers laquelle vont se tourner les électeurs......puisque nos "grands hommes " ne semblent pas capables de trouver une issue.....

  • Par sulvianne dans le podcast La terre au carré

    Emission passionnante à laquelle j'aurais aimé participer par téléphone pour raconter l'expérience que je vis avec ma petite fillle:
    Constatant qu'à cause d'Internet, il n'y aurait plus beaucoup d'archives familiales (qui peuvent servir ultérieurement à des historiens) nous avons décidé de nous écrire des lettres papier. Cela dure depuis six mois environ. Nous échangeons bien plus qu'avant ; elle fait de moins en nmoins de fautes d'ortographe et cela lui est un excellent exercice rédactionnel. Cela lui permet aussi de raconter des détails et desmoments auxquels elle n'aurait pas attaché d'importance et à moi, cela m'ouvre sur le monde des jeunes, me remémore mes réactions d'adolescente. Dix sur dix pour la notion d'échanges.

  • Par Anonyme dans le podcast Carnets de campagne

    Vos dons pour les actions d'Ecoles du Monde (via les sites Hello Asso, We Jack, ou ecolesdumonde.org) iront directement à Madagascar. Il n'y a en France que des bénévoles (et une demie salariée) !

  • Par French dans le podcast Carnets de campagne

    Bravo pour cet engagement ! On ne peut pas abandonner ces populations !
    En ces temps de campagne politique, on ne parle pas assez de bienveillance et de Générosité...Continuez longtemps ...! Nous vous aiderons....

  • Par Anonyme dans le podcast Faites entrer l'accusé

    Les financiers qui manipulent les sondages votent
    MACRON
    A environ deux semaines du premier tour, on assiste à une campagne médiatique bien
    orchestrée, qui vise à tenter de manipuler l’opinion par un usage de sondages qui reflètent des
    pourcentages désirés par les bailleurs de fonds et non pas ceux qui devraient être affichés. C’est
    bien de trucages dont il s’agit.
    Pour que ces traficoteurs ne roulent pas les Français dans la farine, il est utile de faire savoir ce
    qu’il y a derrière ces sondages qui donnent allègrement depuis des jours un duel Macron/Le Pen
    pour le second tour.
    Ainsi, le sondage (BVA) au 3 avril donne 25% pour EM, 24% pour MLP et 19% pour FF
    Pour savoir décoder les « informations » dont on vous rebat les oreilles, je vous suggère, aidé
    par un autre internaute, de toujours vous poser la question : qui est le payeur ?
    Christian ROGER
    Qui paie les sondages ?
    Le point de départ d’une tentative de manipulation de l’opinion remonte à Janvier 2016. Le
    Monde titrait : « Sondage : Emmanuel Macron préféré à Manuel Valls ou François Hollande
    pour 2017 » et en sous-titre : « Un sondage Odoxa pour Le Parisien/Aujourd’hui en France
    estime que le ministre de l’économie pourrait devancer le premier ministre et même le
    président».
    Il est placé d’entrée de jeu à 22% et le produit Macron est ainsi lancé, comme une savonnette
    dont on veut faire la campagne publicitaire.
    Qui est Odoxa ?
    Les deux fondateurs d’Odoxa sont des anciens de l’institut de sondage BVA, dont Vincent
    Bolloré et le fonds d’investissement Rothschild sont actionnaires.
    Le principal actionnaire actuel d’Odoxa est Bernard Arnault, patron de LVMH et propriétaire
    de Le Parisien-Aujourd’hui en France.
    Nicolas Bazire est l’un des administrateurs de LVMH et il cumule en étant administrateur de
    l’institut de sondage IPSOS. Mais le plus intéressant ici, c’est qu’il est gérant associé de la
    Banque Rothschild…tout comme Macron avec qui il a travaillé, et dont le conseiller en
    communication est Denis Delmas, ancien président de TNS Sofres.
    Premier constat : les organismes de sondage Odoxa + BVA + IPSOS + TNS Sofres (sont
    dans les mains des financiers : Fonds d’investissements Rothschild + Bolloré + Arnault de
    LVMH. Ainsi, 80% des instituts de sondage appartiennent à la sphère d’influence qui
    soutient Macron.
    Chez LVMH, l’une des directrices est Gabrielle Guallar, «Madame» Benoit Hamon (ils sont
    pacsés). Cette collusion entre la gauche dure et des milliardaires n’a rien de surprenant,
    ces derniers ne sont «ni de gauche, ni de droite», comme Macron, leur poulain qu’ils dopent à
    coups de millions d’euros pour qu’il puisse gagner la présidence qu’il mènera selon leurs
    instructions.
    On comprend ainsi pourquoi Macron refuse de donner le nom des donateurs à son mouvement
    En Marche !
    Ces milliardaires sont sociaux-libéraux mondialistes, le mot « sociaux » n’étant là que pour
    rassurer la gauche, tout comme Hitler avait accolé « socialisme » à national dans nationalsocialisme.
    La cote moyenne de Macron était de 17% dans les sondages tout au long de l’année 2016.
    On l’a fait bondir de 7 points en janvier 2017, à 24 % pour arriver à 26 % des intentions de vote
    en mars, le plaçant en tête de tous les sondages.
    On sait que les élections se jouent dans les trois mois qui les précédent et on comprend très bien
    la nécessité de ces scores pour orienter l’opinion.
    Pour que Macron gagne, il faut qu’il affronte Marine Le Pen, un Macron contre Fillon donne
    Fillon gagnant. Les sponsors et propriétaires de Macron doivent maintenir MLP à un haut niveau
    dans les sondages, tout en préparant les conditions de son échec entre le premier et le second
    tour.
    Marine Le Pen, challenger indispensable à la réussite de cette manipulation de l’opinion
    publique est créditée de 25 % des intentions de vote. Normal !
    Dans le même temps, Elabe, un «petit» sondeur, donne Fillon à 17 % et insiste lourdement sur
    l’affirmation que «en dessous de 20 % un candidat n’a que peu de chance d’arriver au second
    tour ». Ben tiens !
    Qui est Elabe ?
    Elabe est l’institut de sondage qui a opportunément sorti un sondage qui montrait Macron
    gagnant du débat TV du 20 mars où il avait été falot face à Fillon, Mélenchon ou Le Pen. Elabe
    a été créé en avril 2015 par CSA dont il est une filiale.
    CSA, dont Vincent Bolloré est l’unique actionnaire depuis 2008 !
    Elabe et CSA, comme BVA, c’est donc Vincent Bolloré, président de Vivendi et Canal +,
    soit 8 milliards d’euros.
    CSA s’est fait connaître par Roland Cayrol, pendant longtemps omniprésent à C dans l’Air,
    comme Christophe Barbier de L’Express. Roland Cayrol s’est discrédité avec sa
    hollandophilie affichée. Aujourd’hui, c’est donc Bernard Sananès, ancien de CSA, qui vient à
    C dans l’Air commenter l’actualité au nom d’Elabe, qu’il dirige, donc de CSA et Bolloré,
    soutiens de Macron.
    Deuxième constat : Elabe et CSA sont des filiales à 100 % du groupe du milliardaire
    Vincent Bolloré, qui continue à soutenir Elabe. C’est son investissement pour continuer à
    contrôler la politique française avec Macron à la présidence.
    La presse doit absolument relayer les sondages pour peser sur l’opinion
    Nos milliardaires et banquiers savent que l’efficacité des sondages à exprimer « l’opinion
    publique » qu’on souhaite voir fleurir sur les médias implique l’adhésion de journalistes et
    spécialistes en communication.
    Ainsi, s’est mise en place chez eux la croyance selon laquelle « faire de la politique » c’est,
    notamment grâce à une bonne communication, se situer le plus haut possible dans les côtes de
    popularités données par les sondages ».
    Il faut afficher un bon mouvement d’opinion autour de Macron et la presse financée par le
    gouvernement et les milliardaires de gauche vont s’en charger !
    Dès janvier 2016, après le coup de démarreur donné par le sondage commandé par Bernard
    Arnault à Odoxa et le coup de starter de Le Monde encensant Macron, 90 % de la presse est mise
    en action pour le soutenir.
    90 %, c’est le pourcentage de médias détenus par le gang des milliardaires sociauxlibéraux
    mondialistes français.
    Le service public, notamment la télévision, est lui aux mains de l’État socialiste qui a mis à
    sa tête Delphine Ernotte, une socialiste fidèle de Hollande, avec la même mission : détruire
    Fillon pour permettre le duel Le Pen contre Macron qui permettra à Macron, chevalier du Bien
    socialo-mondialiste et immigrationniste de battre le Mal incarné par Le Pen, patriote nationaliste
    anti-immigrationniste.
    Pour la mise en place des hommes pour ces actions, voici un extrait de lémission de TV
    Arrêt sur image » de Daniel Schneidermann :
    «S’agissant de Macron, Niel et Bergé, copropriétaires du groupe le Monde, lui ont plus ou moins
    publiquement déclaré leur flamme. Rien, dans ce que l’on sait de lui, et du peu que l’on sait de
    son programme, n’est de nature à effaroucher M.M. Dassault, Arnault, Pinault, Lagardère,
    Bolloré ou Drahi.
    Ce qui ne signifie pas que les oligarques français soient pendus au téléphone chaque matin pour
    commanditer des unes, des éditos, ou des sondages favorables. Simplement, par capillarité
    intellectuelle, ils ont nommé à la tête des rédactions de «leurs» médias des journalistes
    macrono-compatibles, éventuellement macrono-indifférents, en tout cas jamais macronoopposés,
    encore moins macrono-hostiles»
    Ce qui explique les plus de 50 « Unes» de la presse qui vantent le produit Macron depuis
    un an et les multiples sondages truqués qui le valorisent.
    Les « intellectuels » qui portent le produit Macron ?
    Ce sont les « Gracques » : un groupe d’hommes d’affaires, de hauts fonctionnaires et
    d’intellectuels qui s’active depuis 2007 dans les coulisses du pouvoir pour convertir la gauche
    française au libéralisme.
    Pour la plupart, ils occupent des postes hauts placés, souvent dans des banques, des compagnies
    d’assurances, des fonds d’investissement. Tous ont fait au moins l’ENA ou HEC. Anciens du PS
    pour beaucoup d’entre eux, ils ont peuplé les cabinets ministériels des années 1980 et 1990,
    servant les socialistes « modernes », Rocard surtout mais aussi Jospin, Fabius, Bérégovoy ou
    Strauss-Kahn.
    La plupart, mêlant intelligemment politique et affaires, sont très riches. Après l’éclipse Sarkozy
    dont ils ont profité pour se concentrer sur les affaires, ils ont été revivifiés par Hollande mais,
    surtout, par Jean-Pierre Jouyet son secrétaire de l’Élysée.
    Aujourd’hui, ils soutiennent le télévangéliste Macron à qui ils ont fourni clés en mains le volet
    économique de son programme, exactement comme le club élitiste allemand « La Société de
    Thulé » avait fourni au jeune Hitler, inculte et incompétent, son programme socio-économique
    (cf. La jeunesse d’Adolf, genèse du nazisme, Maurice D. 2002)
    *****************************
    Voilà. Je sais que tout cela n’est pas très reluisant. Mais vous avez un moyen de claquer
    le museau de ceux qui veulent vous abuser: VOTRE BULLETIN DE VOTE !
    C’est tout pour aujourd’hui !

  • Par Anonyme dans le podcast Faites entrer l'accusé

    #Message effacé par l'administrateur#

  • Par Annick Monjauze dans le podcast Passion classique

    Je suis ravie d'entendre Philippe Labro, dont certains livres m'ont tellement enchantée que je les ai lus et relus plusieurs fois, comme FRANZ ET CLARA, RENDEZ VOUS AU COLORADO,mon préféré, par la magie des couleurs évoquées. MERCI, M. LABRO !
    AM

  • Par thierry dans le podcast 08h30 Marc Fauvelle et Salhia Brakhlia

    Je viens d'écouter l'entretien avec Mr Cheminade, et je trouve que Mr Aphatie a était méprisant à la fin de l'entretien... Ce n'est plus du journalisme ... UN PEU DE RESPECT ,MËME POUR LES PETITS CANDIDATS!!! même si ils ne pensent pas comme vous .