Podcasts France Inter

Bravo

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Quelles chroniques fines et bien écrites. Bravo pour le recul, les mots justes et la réflexion Soutien dans l'adversité et Plein de courage Sophia

élection présidentielle

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Je ne pense pas que les français soient si attachés que cela à l'élection du président au suffrage universel direct, notamment lorsque l'on voit l'ampleur de l'abstention ou des votes blancs ou nuls. Cela intéresse surtout les commentateurs politiques ou les constitutionnalistes, ceux dont la politique est leur travail. Pour le peuple cela pourrait changer, je le crois

Votre chronique du 27 mars

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Bonjour, Je viens d'écouter votre chronique et vous affirmez que les recours contre les bassines sont presque tous épuisés... Chiffres décembre 2022 : 13 recours contre 7 projets et 93 bassines, 5 en cours, 6 gagnés et 2 perdus. Merci

En finir avec la honte

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Bonjour Sophia, J'apprécie vos chroniques depuis quelques années, et ne me lasse pas d'écouter la radio ou vous intervenez pour vos chroniques. Votre intervention "En finir avec la honte" vous permet de répondre à l'ignominie des propos inqualifiables d'un animateur de C8. Je suis de tout cœur avec vous et votre réponse est digne. Bravo pour votre courage, celui-ci n'était plus a démontrer, je suis fier d'être votre contemporain. Très Cordialement Claude G. (Etaples sur mer (Pas de Calais)).

Bravo Sophia !!!

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Bravo Sophia !!!!! Vous avez raison un vrai cretin décerebré ce Hanouna et toute sa clique ! La majorité silencieuse devra un jour s’élever contre ces cretins assourdissants - je vous applaudis bravo

le travail!!!!!

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Je suis absolument outrée par ce que j'entends de la part de votre invitée. Mais est ce que la personne est au courant que nous sommes le pays en Europe où l'on travaille le moins, et le pays où l'on va à la retraite le plus tôt!! C'est in croyable d'entendre des propos pareils. J'ai un mari qui a exercé son métier dans une profession médicale, il est parti à la retraite à 65 ans, les gens ignorent que les médecinset toutes les professions médicales partent à la retraite plus tard !!! les français sont tellement gatés qu'ils en veulent toujours plus;c'est étonnant de ne jamais entendre de personnes qui sont d'accord avec le fait qu'on ne pouvait pas faire autrement que cet allongement ; Quel honte pour notre pays d'apparaitre aussi égoiste.

Violence ou non

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Militante dans les APN depuis plus de 40 ans... J'ai 71 ans, je continue mais suis souvent désespérée et je soutiens à fond les activistes radicaux car on n'a vraiment plus le temps.

Billet ce matin de S. Aram

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Merci merci merci. Ça fait du bien.

Le grand face à face

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Monsieur Badou je vous en prie formulez vos questions de façon plus consise. Laissez parler vos invités.

Les cauchemars et l'inconscient.

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Il ne s'agit pas d'un cauchemar mais d'un fait réel qui m'a poursuivi pendant des années. Ma mère a cherché à m'étrangler lorsque j'avais cinq ans. Je fus sauvé par ma Grand-Mère, sa Mère. Pendant longtemps, j'ai revu cette scène en état d'éveil. Il y avait une chose que je ne comprenais dès les premiers jours après cette scène. Je voyais et revoyais cette scène identique à elle-même. Ce qui m'interpellait, c'était qu'à chaque fois je voyais la scène traumatisante avec la sensation d'en être un acteur interne à celle-ci et en même temps en en étant le spectateur. Ce qui faisait qu'il ne s'agissait pas d'un cauchemar, c'est que j'ai porté durant toutes ces années une trace à la base du cou sur toute sa circonférence. sans que cela étonna le reste de la famille. Ils l'attribuaient tous à une irritation, une réaction immunitaire. Mon intervention a plus à voir avec le retour au traumatisme. Ce cercle rouge disparut lorsque j'ai enfin compris comment je pouvais être tout à la fois acteur et spectateur. J'étais acteur, cela ne faisait aucun doute pour moi. Mais spectateur... Comment cela pouvait-il se concevoir ? La solution me vint lorsque je regardais une fois de plus le film "Goldfinger". Il y a une scène dans ce film dans laquelle James Bond embrasse une James Bond's girl et voit sur le miroir des pupilles de la fille l'image du type qui va l'assassiner avec un couteau de boucher. Il la retourne et c'est elle qui est frappée par ce couteau. Il me fut alors évident que je m'étais vu ainsi que les autres acteurs de cette scène sur les pupilles de ma mère penchée sur moi. À partir de là, l'irritation de mon cou disparut. Et si ce souvenir est toujours présent lorsque je veux me le remémorer, il ne revient plus me torturer même s'il est toujours là en moi. On peut donc réussir à se débarrasser de ces cauchemars même s'ils sont des cauchemars éveillés, si l'on arrive à les analyser. Bien cordialement, Philippe. PS : Merci de n'utiliser que mon pseudo.