Merci pour le reportage de Fabien Fournel qui a permis de donner la parole aux locataires et aussi à leur bailleur. Notre "petite" révolte" vient du fait que notre précédent bailleur (ICF Atlantique) nous avait déjà, sans consultation ni information, imposé plusieurs antennes de Free sur notre terrasse (observation : les immeubles en copropriété demandent leur accord aux co-propriétaires mais on ne demande pas l'avis des locataires de logements sociaux).
Nous craignons le cumul de toutes ces ondes ! Linky va arriver et quoi d'autre encore ?
Les réponses ressemblent à celles que l'on nous fait concernant les pesticides dans l'alimentation : pas grave pour 1 pomme par jour mais l'on mange des tomates, des salades, du poisson etc...
Le cocktail devient explosif ?
Monsieur Triollet semble adopter aujourd'hui une attitude plus responsable pour notre minuscule résidence de 60 appartements qui n'est qu'une infime partie des 23 ou 24 000 logements dont il a la gestion !
Il n'y avait eu aucune information préalable . Il est vrai que cette manne financière compte surtout pour les promoteurs de ces matériels. Faites un petit calcul:1 et souvent 2 compteurs par logement x 23 000...
Tant pis pour les employés qui relevaient les compteurs ! Dans la Vienne, l'argument" scientifique" mis en avant est surtout le chantage au chômage pour les employés de l'entreprise qui fabrique le lINKY à Chasseneuil-du-Poitou ! (voyez avec vos confrères).
Pour nous : les ondes seront-elles envoyées toutes en même temps ? Et la fréquence ? On nous parle de transmission "en temps réel", alors, cela ne fonctionne pas qu'une fois par jour ?
Seront-elles alors, toutes ensemble, aussi dangereuses que les portables ou la Wifi ?
Pouvez-vous contacter un scientifique vraiment "indépendant" qui puisse nous renseigner afin que l'on ne nous traite pas de "rétrogrades" de" trouillards" attardés qui refusent toute avancée technologique !!!! ?
Merci, Jean-Pierre Muselet, locataire de la résidence Rivoli à Tours
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