Par NICSTEL Le 08-05-2017 - 22:00
Point de vue
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France inter direct

Tout à fait d'accord avec lepoint de vue exprimé par auditeurs dans l'émission de Nicolas Domorand selon lesquels tous les candidats à la Présidence de la République n'ont pas été également traités et commentés dans l'impartialité.
 
Ainsi, il n'y a pas eu égalité de traitement et d'analyse critique selon les invités  par les journalistes et chroniqueurs habituels intervenant notamment le matiin dans le cadre du 7/9 de Patrick COHEN, et selon les invités choisis, bien que j'écoute et apprécie chaque matin son émission.
 
D'une manière générale, Il semblait ressortir qu'Emmanuel MACRON avait en général leur faveur de promotion et qu'étaient dédaignés ceux critiquant le système de l'ultra libéralisme, la mondialisation, le régime européen en place suggérant sa remise en cause avec prise de risques en résultant.
 
Il est regrettable qu'aucune  analyse impartiale, exhaustive et  contradictoire et comparative de fond de leurs propositions ne soit réalisée.
 
Quel dommage que la voix et l'analyse critique et humaine de Bernard MARIS se soit éteinte et qu'elle n'est pas été remplacée par celle d'avis comparable sur l'antenne. Il doit en exister.
 
De même pourquoi entendre toujours chaque matin que l'analyse économique de Dominique "CE", excusez pour l'orthographe ignorée de son nom, sans qu'aucune contradiction n'y soit apportée ou alternance ?
 
Heureusement qu'il y a sur l'antenne le samedi matin l'émission économique intéressante, exhaustive et contradictoire, CARREFOUR DE L'ECONOMIE où les deux débatteurs sont d'avis différents et les expriment dans la courtoisie et l'humour, faisant défaut ainsi que modestie chez beaucoup d' interwieuveurs, et ceux posant des questions mais ne laissant pas répondre, ciritque faite indépendamment de FRANCE INTER.
 
Y aura-t-il avant les législatives une analyse exhaustive  du programme que veut mettre en oeuvre Emmanuel MACRON, notamment sur la remise en cause du Code du Travail ?
 
Prévoir plafonner à 6 mois de salaire l'indemnité de rupture pouvant être allouée aux salariés licenciés pour tout dédommagement quelles qu'en soient les circonstances  est injuste et révoltant :
toutes les situations ne se ressemblent pas et les conséquences peuvent être beaucoup plus douloureuses et spoliatrices selon les salariés licenciés et la cause de leur licenciement et le comportement du "licencieur", notamment lorsque sans cause réelle et sérieuse, l'âge et l'ancienneté du salarié licencié.
 
Ceux d'un certain âge, avec une expérience certaine, ne retrouveront jamais un travail dans le contexte actuel mondial.
 
Ainsi, il voudrait remettre en cause la limitation rejetée dans le cadre de la loi EL KOMRI qui ouvre la voie aux entrepreneurs de licencier à bon compte des salariés anciens percevant un salaire considéré majeur pour être aisément remplacés par des jeunes diplômés payés au SMIC.
 
C'est les soumettre à brève échéance à la précarité, puis pour certains la misère et la rue, à l'issue des indemnités de chômage à durée réduite et épuisement des secours, dont une formation autre adaptée à leur cas sera vaine vu leur âge, situation donc transférée à la charge de la collectivité  et au bon vouloir des pouvoirs publics.
 
C'est d'autant plus choquant que des cadres dirigeants, très supérieurs très bien introduits, même ayant peu apporté à l'essor de l'Entreprise et ses employés, et avec  peu d'ancienneté partent avec des ponts d'or, des indemnités cumulées exorbitantes et indécentes.
 
Pourquoi pour eux ne pas légiférer pour les limiter et ainsi préserver la trésorerie des enreprises ?
 
Il serait intéressant de savoir si M. Emmanuel MACRON, a perçu des indemnités de départ lorsque qu'il a quitté la Banque ROTCHILD et de combien ?
Savoir s'il s'est appliqué à lui-même ce qu'il préconise pour les autres...Un tel débat devrait être soulevé par les journalistes
 
Il faut protéger les salariés selon les situations en envisageant par exemple plusieurs seuils plafonnés d'indemnisations selon les situations envisageables , d'ancienneté, d'âge, moyens de l'entreprise, en s'inspirant des palliers mis en oeuvre pour les indemnités de licenciement stricto sensu, afin d'aboutir à des indemnisations adaptées aux situations de rupture et prise en compte de l'importance des entreprises en cause.
 
Un  entrepreneur individuel ayant peu de moyens ne doit pas être exposé  à être ruiné par une rupture de contrat de travail jugée lui être imputable, comme ce peut être le cas actuellement.
 
Il faut pallier aux excès mais rien qu'aux excès.
 
Il faudrait prévoir plusieurs seuils mesurés dans l'intérêt de chacune des parties et non pas uniformisés.
Il faut prendre en compte les circonstances, le préjudice subi de telle sorte  que le principe du droit dela responsabilité soit respecté : 
tout fait volontaire de l'homme causant à autrui un dommage devant l'obliger à le réparere en fonction de ses moyens.
 
AUTRE QUESTION : l'exclusions de l'ISF que pour les possessions de titres, d'actions d'entreprises, n'est ce pas une mesure  favorisant essentiellement des habitués bien introduits dans le monde de la finance et experts en spéculation, les grandes familles  ?
 
Les propriétaires d'immobilier d'habitation loué ne sont pas des rentiers. Ils permettent de pallier à l'absence de production de logements par les pouvoirs publics.
Ils sont tenus d'obligations et dépenses d'entretiens et réparations, de tenues de comptes, subissent pour beaucoup des impayés et dégradations de leurs biens, des remises en état à financer compte tenu des obligations qui leur incombent pour relouer, paient des impôts sur revenus fonciers devant être comptabilisés...
 
C'est du travail qui participe à la vie économique et qui rend aussi service à la nation et à l'Etat.
 



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